Découvrez Día de los muertos
Source: Pixabay Que faites-vous lors du jour de la fête des morts ? Vous pleurez ou vous vous recueillez ? Au Mexique, pour leur jour dédié traditionnel, eux font la fête ! Entre chants, nourriture abondante et musique dansante, ils sont loin de se laisser aller et d’exprimer une tristesse solennelle et renfermée, bien au contraire. Chez Royal Vegas, nous voulons célébrer aussi cette journée en proposant une nouvelle machine à sous pleine de frissons et qui sait donner la chair de poule. Régalez-vous avec Dark Matter, un jeu d’énigme en pleine ère victorienne, imprégné d’atmosphère dramatique et avec une superbe réalisation. Toutes les subtilités de Día de los muertos sont à découvrir ci-après. Vous aurez envie d’y participer.
Un rapport à la mort différent
Alors que dans nos contrées nous sommes plutôt impressionnés et craintifs vis-à-vis d’elle, les Mexicains eux s’amusent et rient de la mort. Attention ils n’en font pas non plus un manque de respect ou un affront blasphématoire ! Mais comme ils aiment tellement faire la fête, cette date spéciale qui a lieu entre le 31 octobre et le 2 novembre est un bon prétexte pour en remettre une couche. Les Mexicains y célèbrent le retour sur Terre des défunts aimés et chéris. Et pour eux surtout, la mort n’est pas une fin mais la possibilité d’un nouveau commencement. Selon les régions ou les communautés, la fête s’étend davantage dans le temps. Et en règle générale on la dédie en priorité aux enfants disparus, puis aux adultes. Cette distinction vient à l’origine de leurs ancêtres aztèques qui célébraient la mort deux fois par an. Le Mexique est un pays à dominance chrétienne, c’est bien aussi pour cela que leur fête des morts prend place à la même date que la Toussaint, après avoir fusionné leurs deux dates traditionnelles en une seule fête. Le pays subit en fait les influences mélangées des traditions ancestrales aztèques et du catholicisme hispanique.
Tout un folklore
Danser, chanter, et faire des festins autour des tombes pendant deux jours. Vous aurez même des scènes de spectacle avec des shows et des écrans géants. Se déguiser, se maquiller le visage en tête de mort dans une ambiance de carnaval, s’offrir des gâteaux, des bonbons en forme de squelette ou même de la tequila ! Quand on parle de fête, on ne plaisante pas avec le jour des morts au Mexique ! Des autels sont installés chez les gens ou dans des lieux publics, tels que la rue, les boutiques ou des salles communes. Les photos des défunts sont ainsi disposées pour leur rendre hommage. Il est important d’y apporter soin car il est inscrit dans leur imaginaire collectif que les défunts peuvent apporter la prospérité, donc on y met des décorations telles que des nappes colorées, des crucifix, des fleurs (notamment les œillets d’Inde qui symbolisent le rayonnement du soleil) , des bougies, de l’encens… Les tombes sont nettoyées, décorées, habillées de fleurs, et les cimetières deviennent de véritables dance floors. Des festins et pique-niques sont organisés autour des tombes. La nourriture est d’ailleurs codifiée, symbolisée et pleine de sens.
La nourriture justement, un élément majeur de la fête
Elle occupe une place centrale. Il faut préparer des mets que les défunts aimaient de leurs vivants, ainsi que des plats ou aliments typiques. Parmi ceux-ci, vous avez notamment des tamales (comme des papillotes fourrées sucrées ou salées), des moles (sauces aux piments, oignon, chocolat, cacahuètes) pour accompagner la viande, des haricots noirs, du café épicé, du chocolat chaud, des fruits, et un peu de tequila. Parmi les plus emblématiques, vous avez les «calaveras» : ce sont des crânes en sucre ou en chocolat, le «pain des morts» : soit un pain brioché saupoudré de sucre et puis des citrouilles confites dans du sucre de canne roux. Tous ceux-ci sont préparés par les boulangers avant les festivités. Ces plats sont pour les défunts, qui en apprécieront l’essence pendant les fêtes, mais ce sont les vivants bien évidemment qui les mangeront réellement au final. Source: Pixabay
La Catrina
Une figure marquante et récurrente du folklore est Catrina. Il s’agit d’une image de femme vêtue d’habits de bourgeoise, avec un chapeau large. José Guadalupe Posada l’a imaginée en 1912 et différents artistes l’ont reprise. Elle fut ensuite renommée «La Catrina». Bien que le mot « catrina » fut intégré dans le vocabulaire courant pour désigner une femme habillée de manière élégante, il s’agissait à la base d’une caricature ! Une façon pince sans rire de montrer que nous sommes tous égaux face à la mort.
Et Halloween dans tout ça
Les Mexicains ne sont ni jaloux, ni ultra conservateurs quant à cette fête religieuse dynamique. Ainsi l’influence d’Halloween est accueillie avec grande tolérance, et les enfants se déguisent d’ailleurs avec joie en gesticulant dans les rues le soir du 31. Ils sont habillés en vampires, morts-vivants ou autres momies, en ne réclamant pas «tricks or treat» (des bonbons ou un sort) mais «calaveras» pour obtenir leurs friandises. Intéressé(e) par les nouveautés de jeux ? Alors jetez un œil: https://fr.royalvegascasino.com/blog/banana-odyssey-nouveau-jeu-microgaming/