Inscrivez-vous

Notre alimentation agit sur l’environnement !

Un arbre dans une boule en verre cassée Source: Pixabay Dire que chaque bouchée que nous avalons aura eu son impact sur la planète. Nous y pensons peu, mais pourtant il a bien fallu produire, acheminer et conserver tous ces fruits, légumes, et surtout viandes qui ont atterri dans notre assiette. Ce n’est pas de la stigmatisation, mais une réalité qu’il ne convient pas d’exagérer mais à ne surtout pas sous-estimer ! Quand on pense au monde du casino, il semble assez facile de se convaincre que les casinos en ligne entraînent une empreinte carbone inférieure à leurs cousins terrestres. En effet d’un côté nous avons un simple serveur informatique à gérer pour jouer à vos machines à sous, blackjack en ligne et poker. Et de l’autre de nombreuses salles et machines à alimenter en électricité et en chauffage ou climatisation. Peut-être qu’il existe des manières similaires de réduire son impact écologique en faisant de bons choix alimentaires ?

Une question de production agricole

L’agriculture est le premier émetteur de pollution sur l’environnement, devant les transports et l’industrie en général. Il faut savoir que le bétail avec les ruminants, vaches moutons et chèvres, renvoie énormément de méthane dans l’atmosphère en digérant. Le méthane, le CO2 et le protoxyde d’azote sont de puissants GES, pour gaz à effet de serre. Ces trois gaz augmentent la quantité de rayons infrarouges qui, au lieu de retourner dans l’espace, reviendront à nouveau sur terre pour la réchauffer. Ils sont tous les trois générés en grande quantité dans la production et la logistique agroalimentaire. Le bétail est élevé de manière intensive. Pour le nourrir, il faut bien produire une alimentation adaptée de manière intensive elle aussi, et consommer beaucoup d’eau. Quand on pense que  créer 1kg de viande de bœuf aura nécessité 13kg de céréales et 30kg de foin !

Des sols en souffrance

Tout ceci entraîne des conséquences en termes d’occupation des sols, de pesticides, d’engrais, et de logistique associée, avec énormément de matière première à transformer. Or il faut savoir que les déforestations, sécheresses et inondations générées directement ou indirectement par la production agroalimentaire dépouillent la planète de ses moyens naturels de stocker les GES ou alors les sature. Il faut mettre en avant aussi le phénomène d’eutrophisation : c’est-à-dire que tous ces processus et cycles écologiques créent des dérégulations et des déséquilibres. Sont en cause les apports massifs de substances telles que l’azote et le phosphore, qui endommagent les niveaux de vitalité des forêts, la qualité des cultures, la biodiversité, et entraînent également des pollutions des eaux de surface et souterraines.

De la ferme au lieu de vente

Ces animaux sont ensuite transportés pour être abattus, leur chair est ensuite elle aussi transportée puis conservée dans des lieux de vente où leur conservation nécessite des moyens très gourmands en énergie. Le refroidissement est le premier poste de dépense liée à la gestion du magasin d’ailleurs. De la ferme d’élevage au supermarché ou à la boucherie et enfin au caddie, il y aura donc eu tout un cycle de dépenses énergétiques et d’émissions de CO2. La viande et les produits laitiers ne détiennent pas le monopole des problèmes écologiques bien sûr mais ils génèrent l’impact le plus fragrant en rapport avec l’alimentation. Aussi, l’altération ou la transformation des produits en plats préparés est gourmande en énergie et généreuse en déchets, contrairement aux produits bruits. Sans oublier les emballages... On peut donc affirmer que réduire leur consommation possède non seulement des avantages sur la santé, mais également des résultats bénéfiques sur la préservation de l’environnement. Des vaches dans un préparés Source: Pixabay

Que faire ?

  • Déja manger moins de produits animaliers et davantage de légumineuses pour obtenir ses protéines. Consommer vert peut vraiment permettre de préserver la santé humaine et sauver la planète, surtout que la pression démographique n’est pas vraiment sur le point de s’alléger. Obésité, maladies cardiovasculaires et cancers ont été prouvés comme pouvant être liés à la surconsommation de viande, surtout viande rouge, qui est en fait la façon standard de consommer des pays occidentaux.
  • De plus, éviter les produits qui ont beaucoup voyagé pour arriver sur notre lieu d’achat. Car non seulement leur empreinte carbone aura été augmentée, mais en plus de toute façon leur teneur en vitamine sera réduite, compte tenu du temps qu’il aura fallu pour les acheminer.
  • Manger des produits de saison car leur production est beaucoup moins gourmande en énergie, leur qualité est meilleure et leur rendement est bien plus abondant.
  • Éviter le gaspillage puisque en fait il représente de la production qui a généré des pollutions pour rien ! Nombre de produits arrivent à date d’expiration sans être consommés. Sans compter les produits dont les dates limites d’utilisation ne correspondent pas à la réalité de celles-ci. Par exemple les yaourts qui peuvent être consommés longtemps après la date officielle annoncée, où bien les fruits et légumes jetés car juste coupables d’être «moches».
  • Consommer bio idéalement, bien que souvent moins facile pour le budget, est vraiment apporter sa pierre à l’édifice. Réduire considérablement la création et l’ajout de pesticides permet d’éviter que ceux-ci aillent ensuite continuer leurs œuvres dans les sols, dans les nappes phréatiques et dans nos métabolismes. De façon générale ce qu’il faut retenir en matière d’alimentation est que ce qui est bon pour l’homme l’est en fait aussi pour la planète…

Intéressé par l’environnement et l’écologie ? Alors vous pourriez aussi aimer : https://fr.royalvegascasino.com/blog/pourquoi-greta-thunberg-agace/


Faire de l’exercice quand ... Administration en ligne de ...